La turbine à rotation autoentretenu

Le développement de cette turbine prend ces racines dans les années 30. Le concept est basé sur les observations de Schauberger. Il a passé énormément de temps en contact avec la nature il était passionné par le comportement des rivières et des torrents. L'aspect tourbillonnaire que pouvait revêtir les flux d'écoulement d'eau on attiré sont attention. Les réponses qu'il à trouvées on mené jusqu'à la réalisation de sa turbine. Voici la forme finale de la turbine de Schauberger.

Vue de coté


Vue de dessus.

Le concept reste simple malgré une apparente complication. Le fluide utilisé est de l'eau mais cela peut être tout autre chose, de l'huile par exemple. Le fluide est recyclé cela veut dire que la machine fonctionne en cycle fermé. Plus besoin d'apport de fluide extérieur une fois le remplissage à été effectué. La partie centrale de la turbine est appuyé sur l'utilisation de la force centrifuge. La mise en rotation d'un volume cylindrique rempli d'eau produit l'éjection de l'eau sur la périphérie du cylindre. Si le volume d'eau n'est pas cylindrique, mais conique, base en haut pointe en bas, l'eau mis en rotation subit une autre forme de mouvement. Le volume d'eau subit une ascension le long des parois du volume conique. L'eau, une fois parvenu dans la partie supérieure du volume en rotation, (base du cône), est projetée dans des tubes de forme particulière. La forme de ces tubes est dédiée à l'accélération du fluide. Enfin le fluide sort à l'extrémité des tubes, par des buses, La forme et l'orientation des buses spécialement désignées, permet de produire un couple moteur car. Le couple moteur ainsi produit va permettre d'aider la mise en rotation, du cône à tube de la turbine. Composant de la turbine préalablement mis en mouvement par un moteur électrique. Parvenu à une certaine vitesse critique, la turbine finie par s'auto entretenir dans sa rotation, le moteur de lancement se transforme en générateur.
Pour en revenir à la forme des cornes que Schauberger utilise, Différents tests et expériences ont mis en évidence que le déplacement forcé d'un flux d'eau ou d'air dans un tube, avait tendance à se freiner lui même, relativement au bouchon créé par le front d'onde de déplacement. Se front d'onde produit une dépression arrière qui créer un vide. On peut simuler le phénomène avec une seringue de laquelle on bouche le petit bout, au bout de quelques millimètres, il devient impossible de tirer sur le piston. Dans le tube en spiral, le flux ne se déplace plus en ligne droite, mais il est en rotation à l'intérieur du tube. Qui dit rotation dit effet centrifuge. Donc le flux va se déplacer en subissant une poussée du centre vers l'extérieur. Il va donc être plaqué contre les parois du tube, au centre il va y avoir un trou neutre. Ceci doit être vrai uniquement avec de l'eau ou autre liquides. Le flux est organisé de la sorte que l'eau, la plus lourde se déplace contre les bords, produit un trou d'air au centre du tube, se trou empêche l'effet Venturi de se faire. Nous nous retrouvons donc avec un flux, qui peut être soumis à une accélération maximale dans son conduit, sans freinage par auto-dépression. Les cornes étant organisées en rayon, le flux y est accéléré par effet centrifuge sans limitation eu égard à la forme des conduits.
Je comprends maintenant pourquoi un écoulement d'eau turbulent est beaucoup moins rapide qu'un écoulement en vortex, le vortex n'accélère pas le flux, en faite il empêche sont autofreinage.
Il serait intéressant de faire un test qui consisterait à concevoir un tube avec des nervures internes. De générer un flux d'eau, mesurer la vitesse de déplacement du flux d'eau en sortie. Puis de mettre en rotation le tube, afin de centrifuger le flux, pour qu'il se plaque contre les parois. Il va se produire un trou d'air au centre, qui va casser le bouchon. Si la théorie est valide la vitesse du flux devrait être plus grande lorsque le tube tourne.

Observation importante

Après avoir fait de nombreux essais j'en arrive à la conclusion que l'enceinte ou se trouve le rotor devait être sous vide, ou très basse atmosphère. Tous les tests pratiqués avec expulsion de flux d'eau ou d'air dans un milieu dense, montre une poussée première contre productive car dans le sens opposé à celui qui est souhaité à savoir le sens normal de la jet réaction du flux sortant à haute vitesse dans un milieu à pression normale. Ceci explique que l'enceinte soit totalement close, qu'une valve de mesure de pression soit montée au-dessus de la cuve ainsi qu'une valve d'admission. Mais aussi la forme globale de la cuve qui est bien plus difficile à réaliser ainsi, mais parce que bien plus résistante à la pression extérieur sous cette forme. La vitesse de déplacement du flux dans les cornes pouvait donc être encore plus rapide.