Mécanismes déterminents

Pour répondre à différentes questione qui m'ont été adressées.
La turbine primaire est fondamentalement déterminante pour la suite du concept.
Je rappel sa fonction, elle doit:
1- produire un flux d'air comprimé
2- orienter se flux via des buses d'expulsions
3- mettre en rotation ces buses d'expulsions.
C'est se mécanisme qui détermine la validité du concept.
Et c'est de cela dont parle Schauberger lorsqu'il cite que le fonctionnement est inverse à ce qui est fait d'habitude. Dans les technologies industrielles, c'est la force d'expulsion d'un flux qui est l'éléments moteur. Tous les types de réacteurs fonctionnent ainsi. La turbine que je propose de concevoir à l'image de la turbine auto-entretenue Schauberger, n'utilise pas du tout la jet expulsion comme élément moteur, bien au contraire, en jet expulsion le rotor tourne dans le sens inverse à l'expulsion. La turbine auto-entretenue tourne dans le même sens que l'expulsion. Donc nous avons un flux qui à sa vitesse propre d'expulsion, qui en plus est embarqué sur un rotor en rotation qui multiplie sa vitesse.
La technologie du coupleur hydrocinétique utilise juste une partie de ce concept, celui qui consiste à prendre le flux de sortie de la turbine pour le réutiliser activement sur l'impulseur. Ce système fonctionne si bien qu'on lui donne le nom de convertisseur car il converti la vitesse en couple tout comme le fait une boite de vitesse mécanique. En revanche se mécanisme n'est pas optimiser pour la vitesse raison pour laquelle il n'est pas sur-unitaire. La turbine Schauberger elle en revanche est optimiser pour la vitesse relativement au point important de la multiplication de vitesse. J'ai imaginer modifier un convertisseur hydrocinétique pour qu'il ai les caractéristiques voulu. Partant de l'impulseur correspondant au compresseur primaire, celui ci doit éjecter le flux sur la turbine. La turbine ne doit pas servir de récupérateur de couple elle doit simplement servir d'accélérateur de flux. Pour finir le réacteur centrale d'un coupleur à pour fonction la réorientation du flux pour le renvoyer vers l'impulseur comme source motrice additionnelle. L'astuce consiste à solidarisé la fonction de réorientation avec la turbine accélératrice. Ainsi le couple récupérer sur la turbine n'est pas utiliser comme source de mouvement mais comme sur-accélérateur du flux. Au final, le flux ainsi accéléré va être projeté sur l'impulseur pour boucler le système.

Voici un dessin extrait d'un document décrivant la turbine autoentretenu de Schauberger.

Pour plus de précisions voici les flux soulignés

Le flux est guidé par la paroi, le mouvement est en avance de phase car il se cumule, à la fois la vélocité de sortie du flux, et la vitesse d'avance de la buse d'éjection. Le bec est impacté par une multiplication de vélocité vitesse pure d’éjection du flux par la vitesse d’avance de la buse d'éjection du flux. La vitesse transmise au rotor n'est pas dépendante d'un différentiel entre la vitesse fixe d'éjection du flux, Et la vitesse du rotor supportant les pales, comme c'est d'habitude le cas, sur les turbines standard. C‘est ce mécanisme qui est déterminent sur l’efficacité de la turbine Shauberger. Avant cela le système de drainage de l’eau, reste simple, car faisant appelle uniquement au mouvement centrifuge. En revanche la propagation du flux dans les « cornes » est plus technique, Quoique faisant appel au même principe directeur, à savoir, exploitation du mouvement centripète et Bernoulli. La complication au niveau de la corne est du au fait que ces phénomènes se produisent dans deux plans. Relativement à la forme en spirale, le fluide est projeté sur une surface courbe, et en cela subit en décollement centrifuge. Mais aussi subit un mouvement centripète du à la diminution graduelle du diamètre de déplacement. Ensuite les dimensions sont importantes pour produire les harmoniques corrects afin que les effets se cumulent sur les pics d’efficacités. Grace au système de multiplication vitesse de flux par vitesse d’avance, nous avons une turbine qui peut s’auto accélérer. Pour produire une image pratique c’est comme si un ventilateur embarqué sur un voilier pouvait produire une force d’avance. Ceci est bien sur impossible en l’état car la poussée se produit entre le ventilateur et la voile. En revanche dans le cas que nous observons, nous passons par un référentiel fixe, qui transmet un flux. Se qui produit l’impact sur le bec n’est pas le flux sortant de la buse, mais le flux projeté par le berceau périphérique de la cuve. Berceau alimenté par la buse certes, mais se relais permet de découplé la cause de l’effet, et produit ainsi, une réelle poussée indépendante. Ce mécanisme décripté va nous permettre d'imaginer un design plus efficace. Nous pouvons observer que les berceaux de redirection du flux, sont cycliques. Cela entraine un couple de poussé discontinu mais également durant de bref instant générateur d'une anti-poussée.
L'illustration ci dessus montre différentes phases transitoires d'avance de la buse vis à vis du pourtour de la cuve produisant le guidage du flux. On notera que la position optimale est atteinte que sur 10% environ, du chemin parcouru. Ci-dessous, une première ébauche d'un système plus compliqué à réaliser mais aussi plus efficace en poucentage de poussée éfficace 
Les buses et les pales de réception de la poussée sont solidaires du même rotor, le flux sort des buses en mouvement il est capter, et redirigé via les pales d'orientation. Le flux ainsi réorienté va produire une poussée sur les pales de réception, et produire la rotation du rotor. Le schéma global que pourrait revêtir la machine pour cette configuration de pales. 
Une autre hypothèse est envisagée dans l'objectif de simplifier la réalisation et d'augmenter le rendement. Une forme de profile va être utilisé pour transférer le flux selon le concept découvert par Bernoulli

L'avantage majeur de ce design réside dans le transfère continu du flux la poussée n'est plus morcelée comme avec les berceaux. Second avantage la forme concave de berceau est freinante, alors que la forme concave type Bernoulli est accélérante.
Dernier point d'amélioration l'entrée du flux sur le profil. Ces divers éléments vont être maquettés et tester afin d'en évaluer le bien fondé au delà des considérations théoriques

Cette maquette à pour but de montrer que le flux d'air, suit la forme sur laquelle il est projeté, mais aussi l'angle de projection. La conséquence de cela est que le flux de sortie du profil réagit comme si il était généré par le profil lui même et non plus par la buse.

La suite des tests passe par l'optimisation du profil, dans le but d'améliorer la caractéristique de transfère du flux au delà du profil. Deux objectifs sont au cahier des charges,

1- Augmentation de la directivité du flux.
2-  Diminution de la dispersion du flux en entrée du profil.


La vidéo:

Quelques vidéos montrant le travail d'un flux projeté.

Cette dernière vidéo prouve définitivement que Le mécanisme de Schauberger est éfficient.

Le balancement que l'on obtient prouve même que si les conditions d'étanchéités étaient linéaires, nous aurions un couple positif. Le balancement traduit la poussée positive, qui repousse la pale (carton), qui lorsqu'elle avance, relativement à la géométrie, crée un espace d'échappement d'air. échappement erratique qui diminue le couple positif, se traduisant par un recul du balancier. Recule, qui diminue la fuite et donc produit l'avance etc... Si le système était (parfait), c'est à dire construit sur un principe circulaire, avec une fuite constante et minimale, le bras se mettrait en rotation.

La vidéo ci dessus montre que lorsque le flux est pincé, il subit une forte accélération. La conséquence est une poussée accrus sur la pale, ce gain est gratuit en quelques sorte. Cela prouve également que pour une un volume et une pression identique, l'effet produit peut être multiplié. Quelques autres tests afin de cerner mieux les mécanismes,


Je n'ai pas pris de vidéos car le but est de  le flux d'air, cela n'étant pas très visuel !

Malgré toutes les recherches de positions possibles, le flux ne fait pas plus d'un quart de guide circulaire.  La palette que l'on voit sur une des photos à été utiliser afin d'observer un effet d'augmentation de flux par effet Venturi ou Coanda. Mais rien de tel ne c'est produit à ce niveau. L'effet Venturi peut recouvrée deux formes,     1- une progression laminaire,     2- une progression, turbulente. Venturi laminaire est très proche de l'effet Bernoulli, la dépression produite par accélération d'un flux primaire entraine avec elle un flux secondaire. Cela se fait dans une cavité de taille adaptée. La différence majeur entre Bernoulli et Venturi est la cavité. Le Venturi turbulent se produit également dans une cavité, mais l'aspiration est produite par la formation d'un front d'onde. Le front d'onde se créer relativement à un différentiel de vitesse entre le flux primaire impulsé à une certaine vitesse et le flux "statique" de la cavité. La rencontre des deux créé un chaos turbulent, ou bouchon, qui va se transformer en piston, se déplacent dans la direction du flux primaire rapide. Ce bouchon va produire une dépression de traine lords de son déplacement. Cette aspiration n’est pas gratuite loin de là, car l’énergie nécessaire à son déplacement est empruntée au flux primaire. La conséquence est un flux de sortie augmenté certes, mais appauvri en vélocité. Nous en arrivons au second mécanisme déterminant créé par Schauberger. Je rappel que le premier est une sur-accélération du flux par le rotor médium mis en rotation par se même flux. Le second concerne le premier flux produisant l’accélération du rotor médium. Schauberger à eu la génial idée d’utiliser les tubes spiralés. Les tubes spiralés on pour objet d’accélérer le flux par force centrifuge. Or nous avons vu que lorsqu’un flux se déplace dans un tube il se forme un bouchon, Qui s’auto freine relativement à la dépression qu’il crée. Le tube spiralé met le flux en rotation lord de son déplacement. Rotation égale force centrifuge, le flux est donc soumis à deux force centrifuge sur deux axes distincts. La force centrifuge primaire crée le déplacement du flux du centre vers la périphérie du rotor central. La force centrifuge secondaire crée la rotation du flux dans le tube. Le flux est donc plaqué sur les parois du tube lord de sa translation. Le centre du tube est libre de fluide, l’air peu donc y circulé librement. Ainsi le bouchon Venturi turbulent ne peut se former, donc pas de dépression donc pas de frein. Le flux peut donc se déplacer à la vitesse maximale imposée par la force centrifuge primaire. En sortie de tube spiralé le flux peut atteindre une vitesse phénoménale, proche de la limite physique du système.

Cette vidéo illustre parfaitement le comportement du flux vis à vis d'un profil intermédiaire. des lords que le flux est correctement guidé c'est comme si ce guide devient l'émetteur du flux. C'est ainsi qu'une buse embarqué peut produire une poussée sur sont propre embarquement.