Répulsine type A / B

Voici un certain nombre d'images collecter. Certaines sont des images d'archive d'autre de synthèses. L'étude portera uniquement sur les images d'archive, potentiellement plus fiables. En préambule j'apporterais une hypothèse personnelle, je pense que la répulsin n'était pas une soucoupe volante ou autre machine de ce type. Je pense qu'il s'agissait simplement du rotor d'une turbine autonome, modèle optimisé et miniaturisé de la turbine à cornes de près de 80 cm de diamètre.
   

   

Ces quelques images pour situer parfaitement de quelle machine il s'agit. Je vais reprendre quelques une de ces images afin de les réinterpréter. Je vais produire des éléments qui vont décrire ceci, la répulsine est un moteur à air, composé de trois rotors distincts. Sur les images nous ne voyons que deux rotors le troisième, que j'ai baptisé rotor terminal n'est jamais visible. Le premier rotor, le plus à l'axe permet de centrifuger la masse d'air primaire, Je vais donc l'appeler le centrifugeur primaire. Le second rotor est périphérique au second, je le baptise rotor médium, il est composé de nervures qui ont deux fonctions. La première fonction est de recevoir le flux issu du centrifugeur primaire. L'orientation des nervures à pour conséquence de produire un couple de rotation en réaction au flux projeté. Le mécanisme est le suivant, le centrifugeur tourne en sens anti horaire par exemple, le flux éjecté produit un couple également anti horaire sur le rotor médium. Ensuite le flux s'écoule au travers des nervures, les lisse, subit une accélération type Bernoulli, et fini sa course en s'éjectant des nervures Le troisième rotor entre en scène, il est périphérique au rotor médium, je le baptise rotor terminal, il est constitué de pales disposées en rayons. Leur fonction, est de recevoir l'impact du flux expulsé par le rotor médium. La mise en fonction du système se fait par la mise en rotation du centrifugeur primaire, via un moteur de démarrage. La première réaction est la mise en rotation du rotor médium, la seconde réaction est la mise en rotation du rotor terminal. Le rotor médium expulse un flux qui possède une vitesse propre, ce rotor muni de buses, qui en faite sont les nervures, possède également sa vitesse propre. Nous nous retrouvons donc bien, dans une configuration identique à la première génératrice à cornes. La différence majeure est au niveau des berceaux périphériques, qui ont été remplacé par le rotor médium.< Si on lie le centrifugeur primaire et le rotor terminal, nous somme totalement dans la configue de la première génératrice.
Maintenant nous somme près pour détailler le centrifugeur primair. Schauberger utilisait une structure concentrique de creux et bosses, dont j'ai eu du mal à comprendre la fonction. En faite il s'agit de deux disques de coupe sinusoïdale concentrique dont le positionnement des ondes de chaque plateau est judicieusement fait. Le but est de créer une série d'étranglements et de ventres, mais également d'ouïes dans le disque supérieur. Schauberger à utiliser un système venturi. Le but d'un tel système est d'accroitre la quantité de flux entre les deux plateaux, afin que la progression géométrique concentrique soit exploitée au maximum. Ceci de manière énergétiquement gratuite en quelques sortes. La série d'étranglement produit une dépression Venturi, cette dépression aspire du flux via les ouïes. À l'étranglement suivant, le principe est reproduit, avec une quantité de flux amplifié, et ainsi de suite. À se niveau là nous avons déjà une amplification du flux peux couteuse en énergie. Voici quelques hypothèses de formes d'ondes et de positions.

Ces deux images clarifies le mécanisme de pression accélération dépression. Le flux est centrifugé, étranglé, accéléré, et ainsi de suite sur chaque ondes. Ce dessin issue de l'excellent siteAlfred Evert, donne une autre manière de concevoir un rotor utilisant l'effet Venturi.

La suite logique au concept faisant raccord avec la première hypothèse du flux multiplicateur la voici

C'est une vue globale en coupe, on y voit, le rotor principal, centrifugeur avec suppresseur à effet Venturi, Le rotor médium faisant office de fonction de transfère et les pales terminales mécaniquement liées au rotor principal. J'ai choisi de faire une seule face active pour l'effet Venturi, le rotor médium est totalement noyé. Il conserve son efficacité du fait qu'il est motivé en permanence par le rotor central, Transfère le flux, qui ressort accéléré, et produit une poussée sur les pales terminales.

Quelques précisions sur le rotor médium et sa fonction

Une autre version dont la réalisation sera plus simple à faible moyens,

Le rotor libre garde sa fonction mais la forme change, le roulement sur lequel il est monté devient de taille raisonnable. L'axe bleu doit être monté sur un palier, ainsi l'entrainement primaire de lancement peut être fait via une soufflette sur les pales périphérique. La compression primaire s'enclenche naturellement, la pousséesur le rotor libre se produit, il s'en suit le couple sur les pales périphérique. La boucle est fermée, il reste à retirer l'excédentd'énergie sur l'axe bleu.

Cette image localiser sur l'internet décrit assez précisément le mode d'aspiration latéral Venturi que je pensais avoir découvert.



En Construction !