Turbine motrice à dépression

Le moteur à turbo dépression est né de la générosité d'un commerçant. Ce sympathique homme m'a permit de faire une observation pour le moins étonnante, avant de me donner la turbine il l'a testé à l'aide d'un aspirateur. Je fus très étonner de voir que celle ci se mettait en rotation alors que selon toute logique aérodynamique cela n'aurait pas du se produire. L'endroit ou il a fait la dépression vis à vis de la forme des pales m'indiquait que cela ne pouvait pas tourner, et pourtant.
Une fois revenu chez nous, je me mis immétiatement à reproduire l'expérience avec mon propre aspirateur afin de confirmer l'observation.
Ensuite j'ai démonter la turbine afin de comprendre le pourquoi du comment. La compréhension à été rapide lorsque j'ai vu la forme des entrées d'air.
Le reste est à lire sur cette page.

Le premier élément technique déterminant à été apporté par Schauberger, il s'agit de la multiplication de vitesse du flux d'eau ou d'air.
Un flux rapide expulsé par des buses, elles même en rotation sur un rotor, le tout dans le même sens.
Le flux ainsi sur-accéléré créer un impact multiplié sur des pales de réceptions.

Le second élément déterminant est l'observation qu'un phénomène dépressionnaire se conserve.
En faisant des tests sur la turbine d'aspirateur il s'avère que le flux aspiré à une extrémité se retrouve en totalité à l'autre extrémité, et capable de produire à nouveau le même effet qu'il à produit dans la turbine précédente. La dépression passe dans la turbine en créant ou pas un effet sur son passage. La seule grosse contrainte et le respect de l'étanchéité afin que le flux passe exactement là ou il doit créer une poussée récupérable. La puissance motrice dépend de la quantité de flux passant dans la, ou les turbines, et de l'intensité de la dépression. En respectant la valeur des ouvertures d'un bout à l'autre du passage, nous allons conserver le débit. seul le temps de passage peut varier localement et, ou temporairement.

les contraintes de réalisations
je vais devoir créer un système modulaire, formé d'une base mécanique qui permetra d'extraire le couple moteur, Cette base sera surmontée d'étages, couple diffuseur / turbine, dont la conception permettra un empilement quasi infini.
Les quelques images qui suivent montrent une manière de procéder pour obtenir le système décrit.









Quelque mesures ont été faite sur le groupe dépresseur, le but étant d'évaluer la différence de puissance absorbée avec et sans charge d'air.
Test sous 30.7 volts continu consomation 1A55 à vide et 1A73 en charge, soit 47.6W / 53.11W donc 5.51W de delta.
Test sous 130 volts 50Hz 3A10 à vide et 3A81 en charge, soit 406.1W / 499.11W donc 93W de delta.
Test sous 235 volts 50Hz 4A45 à vide et 6A00 en charge, soit 1045.75W / 1410W donc 364.25W de delta.
La puissance nécéssaire pour lancer toute le système mécanique semble élevée devant la puissance prélevée pour aspirer l'air. Sur secteur seulement 1/4 de la puissance absorbée correspond à la centrifugation de l'air. Sachant que la turbine est en expulsion libre, donc dans la meilleure configuration possible. Dans notre cas, le compresseur sera à terme relié directement à l'axe des turbines motrices. Nous devrions donc avoir un rendement intéressant. Car il n'y aura pas de rotor moteur lourd et couteux en frottements (charbon et masse globale), induisant également des pertes fer et ohmique.